INFORMATIONS
Auteur Elizabeth Peters
Édition Le Livre de Poche
Genre Policier
Pages 381
Année de parution 1998
«Les falaises, à l'est, se tentaient de Rose et de mauve, au-dessus, le ciel c'était assombri, manteau bleu cobalt semé de minuscules diamants.»
(page 257)
«Les contes de fée sont faits pour être absurdes, dis-je. C'est une partie de leur charme.»
(page 347)
MON AVIS
Au tout début, je n'arrivais pas à me perdre totalement dedans. Je ne comprenais pas dans quel genre policier j'allais être. Toute fois j'avais l'impression de me diriger vers une histoire à la Agatha Christie ou à la Mary Higgins Clark, même si j'adore ces deux autrices, ce n'est pas ce que je voulais lire avec ce roman.
Aprés plusieurs pages tout a changé, ce que je lissais est devenu très intéressant et prenant. Enfin j'enchainais les pages et j'étais toujours impatiente de reprendre ce livre dès que je le pouvais.
Je voyageais en Egypte entre les différentes activités de l'archéologie et l'enquête qui a debuté après la soudaine mort d'un certain Henri Baskerville.
Il y aviat pleins de personnages mais ceux qui m'ont le plus retenue sont Amelia Peabody et Emerson. Concernant cette première, j'appréciais sa narration qui me donnais l'impression qu'elle était proche de moi.
Emerson n'est pas son prénom, mais son nom j'aimerais l'appeler ainsi et en même temps son prénom n'était pas tellement cité.
Les sentiments et le comportement de ces deux là n'étaient pas mis en avant, et prenaient très peu de place. J'aimais bien ce côté qui ne casse pas cette ambiance de fouille et d'enquêtes.
J'ai apprécié la référence d'Ayesha, déesse ou femme immortelle, dans She, le roman de Mr. Haggard. Si il existe raiment, j'aimerai bien le trouver pour le lire.
Malgré un début compliqué, j'ai passé un agréable moment de lecture et je recommande ce livre à tous les lecteur qui sont passionnés par le genre policier et ceux qui aiment également l'Egypte.
